Les requêtes ou instructions préparées sont un mécanisme proposé par la
plupart des moteurs de bases de données afin de réexécuter un ordre SQL semblable
au précédent. On parle d’un template de requête qu’il est nécessaire de
préparer avant d’exécuter. Les principaux bénéfices que nous lui connaissons
méritent un article afin de mieux comprendre leur implémentation.
Je suis resté longtemps ignorant des mécanismes de journalisation et de PITR
avec PostgreSQL alors même qu’il s’agit d’un des fonctionnements critiques pour
la durabilité des données d’une instance. Mieux comprendre ces concepts m’aurait
permis à une époque, d’être plus serein lors de la mise en place de sauvegardes
et surtout au moment de leur restauration !
Dans cet article, je vous propose de revenir sur un fichier anecdotique qui a
fait parlé de lui pendant plusieurs années : le fichier backup_label.
Qui est-il et à quoi sert-il ? Comment a-t-il évolué depuis sa création en
version 8.0 de PostgreSQL et qu’adviendra-t-il de lui dans les prochaines années ?
Parmi les quelques outils de mon quotidien, il y en a un très sobre et bigrement
efficace répondant au nom de pgenv, un gestionnaire des versions PostgreSQL.
Ce projet est publié sous licence MIT par David E. Wheeler, auteur de l’extension
pgTAP dont j’avais déjà vanté les mérites dans un autre article.
Cet outil concerne principalement les contributeur⋅rices au projet PostgreSQL et les
quelques DBA féru⋅es d’expérimentations, car pgenv permet de compiler et
d’exécuter toutes les versions majeures et mineures du système de base de données
open-source le plus avancé du monde.
Dans l’univers des générateurs de sites statiques, la bataille fait rage entre
plusieurs frameworks depuis quelques années. Vous avez peut-être entendu parler
de Jekyll, Next.js, Gastby ou Hugo ? Je ne cite que les plus
sollicités par la communauté sur GitHub, mais il en existe des centaines.
Pourquoi cet engouement ? Cet article n’en parlera pas.
Cette semaine, passait sur mon fil d’actualité Twitter une simple URL
pointant sur le site https://pgpedia.info. Non loin d’être le seul à l’avoir
remarqué, nous en parlions entre collègues pour constater avec surprise que nous
ne connaissions pas cette mine d’or d’informations sur PostgreSQL. Après y avoir
perdu plusieurs heures, je me suis dit qu’un article sur les quelques utilitaires
que j’estime méconnus, pourrait être une bonne conclusion de la semaine.