La création d’un lien sous Unix se réalise avec les commandes ln ou
cp. Cette action permet de lier deux fichiers vers la même donnée et
de rendre disponible une ressource par l’intermédiaire de l’un ou de l’autre de
ces fichiers.
Cependant, les opérations diffèrent selon le type de ce lien. Le plus connu reste
le symlink, le lien symbolique. Mais qu’en est-il des autres ? Comment se
caractérisent-ils et dans quels contextes ? En vrai, qu’est-ce qu’un inode ?
Et PostgreSQL dans tout ça ? Autant de petites questions de curiosité que
j’aborde avec vous dans cet article !
La sécurité d’un système d’information prend une multitude de forme. Aussi,
j’aimerai m’attarder sur une évolution apparue en version 10 de PostgreSQL,
devenue depuis lors une bonne pratique, bien que très absente dans les
déploiements des systèmes courants.
Je voulais m’attarder sur une notion que je n’avais pas exploré à l’époque où
j’apprenais à naviguer dans un terminal GNU/Linux sur les sièges de l’école et
où l’on usait de commandes apprises par cœur : les signaux !
Les signaux les plus connus et les plus utilisés sont les numéros 6 SIGABRT et
9 SIGKILL, ça vous revient ? Pourquoi en existe-t-il autant, dans quels
contextes sont-ils nécessaires et de quelles façons les configure-t-on ? Prenons
le temps de (re)découvrir les signaux UNIX et leurs utilisations dans PostgreSQL !
Lorsque l’on exploite une plateforme PostgreSQL avec de la réplication, il est
exceptionnel de devoir déclencher le plan de bascule, rédigé par un ancien
collègue ou un prestataire oublié. Ce genre de décision se prend lorsque
l’ensemble des experts ont individuellement déterminé qu’aucune autre solution
n’était envisageable.
Quels moyens a-t-on avec une architecture PostgreSQL dans son plus simple appareil
pour réaliser une bascule des rôles et raccrocher les instances secondaires au
nouveau primaire fraîchement élu ?
Il y a parfois des projets qui émergent de nulle part, d’autres qui mûrissent
d’années en années. Certains mêmes peuvent être déclenchés par l’heureuse
rencontre de deux inconnus, ou alors par la simple volonté de combler un vide.
Aussi, dimanche dernier, je me suis plongé dans la lecture d’un livre technique
sans raison apparente et me suis donné pour nouvel objectif de réapprendre le
langage C.
Incongru, n’est-ce pas ? Pourtant, l’idée n’est pas nouvelle, elle a germée
paisiblement jusqu’à plusieurs récents épisodes de mon quotidien. Et si ce langage
informatique, très bas niveau, dont font l’impasse de nombreux étudiants (dont
moi durant ma licence), avait des choses à m’apprendre pour progresser dans ma
compréhension du logiciel libre ?
Je ne sais pas, mais j’ai eu comme la conviction d’être passer à côté d’une
évidence…